FOLK

“James Elkington is a great guitarist and a tremendous, empathetic listener.” On ne peut qu’acquiescer cette phrase signée par l’immense Richard Thompson. Resté pendant des années un homme de l’ombre de la scène folk américaine et anglaise – il a joué pour Richard Thompson, Jeff Tweedy (Wilco), Steve Gunn, Michael Chapman ou encore Laetitia Sadier (Stereolab) – James Elkington a enfin sorti un album en solo l’année passée, sur le superbe label Paradise Of Bachelors.

Basé à Chicago depuis de longues années, les origines britanniques d’Elkington – bercé par le folk anglais des 70’s et 80’s – ressurgissent à l’écoute de ce disque. « Wintres Woma » évoque un Kevin Ayers lisant un poème de Dylan Thomas ou Gerard Manley Hopkins sur une chanson de Bert Jansch, le tout chanté avec la voix singulière d’Elkington, et tourné en mélodies indélébiles.

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FOLK

Prune c’est une infusion aux orties, des textes en français et deux brumeuses guitares au soleil d’une terrasse en hiver. Un duo – dans lequel joue Alex Merlin (Cold Bath, The Cats Never Sleep) – pour se promener.